• Mon pays

    à une femme qui se rend même pas compte de la générosité quelle apporte par une simplicité et une sincérité étonnante. J'ai rarement rencontrer des gens comme toi qui donnent sans compter un retour...
    Je ne connais pas ce soleil Qui brûle les dunes sans fins Je ne connais pas d'autres terres Que celle qui m'a tendu la main Et si un jour je pars d'ici Que je traverse le désert Pour aller voir d'ou vient ma vie Dans quelle rue jouait mon père Moi qui suis né près de paris Sous tout ce vent, toute cette pluie Je n'oublierai Jamais mon pays Jamais mon pays Et si demain comme aujourd'hui Je dois faire le tour de la terre Pour chanter aux mondes mes envies Voyager des années entières Moi qui suis né tout près d'ici Même si je quitte mes amis Je n'oublierais Jamais mon pays Trop De souvenirs gravés qui courent D' écoles et d' été Trop d' amours pour oublier Que c'est ici que je suis né Trop De temps abandonné Sur les bancs de ma cité Trop d' amis pour oublier Que c'est ici que je suis né Que c'est ici que je suis né Je ne connais pas ce parfum De menthe et de sable brûlant Mais seulement les embruns Où les rouleaux de l'océan Et toi qui me trouve un peu mate Pour ses rues bordées de prairies Un peu trop blanc couleur d ‘Euphrate Pour ses poèmes que j'ai appris Tu es bien le seul que j'oublie Telle l' étoile fidèle a la nuit Je n'oublierais Jamais mon pays Jamais mon pays Trop De souvenirs gravés qui courent D' écoles et d' été Trop d' amours pour oublier Que c'est ici que je suis né Trop De temps abandonné Sur les bancs de ma cité Trop d' amis pour oublier Que c'est ici que je suis né Que c'est ici que je suis né Et comme toi j'attends la pluie Pour lui dire toutes mes peines Tout comme toi, je lui souris Quand elle tombe sur la plaie Quand elle tombe sur la plaie Trop De souvenirs gravés qui courent D' écoles et d' été Trop d' amours pour oublier Que c'est ici que je suis né Trop De temps abandonné Sur les bancs de ma cité Trop d' amis pour oublier Que c'est ici que je suis né Que c'est ici que je suis né Trop De souvenirs gravés qui courent D' écoles et d' été Trop d' amours pour oublier Que c'est ici que je suis né Troooop De temps abandonné Sur les bancs de ma cité Trop d' amis pour oublier Que c'est ici que je suis né Que c'est ici que je suis né

  • Commentaires

    1
    Samedi 28 Octobre 2006 à 10:14
    faudel
    elle tue cette chanson
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