-
J'ai tant de choses à te dire
Tant de choses qui me déchirent
Mais ces cordes à mes poignés
J'ai pas de honte à les montrer
J'ai lutté pour passer
Avant toi sur les dangers
J'ai volé pour sauver
Tes sourires et ta fierté
J'ai menti à la vie
J'ai menti mon ami
{Refrain:}
Garde-moi
Garde mon ombre et ma foi
Garde-moi
Garde mes cris dans ta voix
Si ma peau est un mur
Tu peux sûrement le percer
Mon repère anti-blessures
Pourrait très bien t'abriter
{au Refrain, x2}
J'ai triché pour gagner
Mais jamais pour aimer
Si j'ai menti mon ami
C'est pour t'offrir ma vie
Garde-moi
Garde mon ombre avec toi
Garde-moi
Garde mes cris dans ta voix
{au Refrain}
votre commentaire -
Oh mon amour, je n'ai aucun regret de partir
Non mais vraiment je n'ai pas eu le coeur à m'étendre
sur de jolies choses passées en ta compagnie
sur de jolies choses passées, usées pour la vieOn n'a pas su recolorier le fond de l'écran
notre histoire pauvre en couleur
a sombré dans le gris, assombri mon coeur
ne bat plus la cadence
des jours heureux passés en ta présenceOh mon amour, le temps ne suspend plus son vol
Atterré, atterri, abattu en plein vol
non mais dis moi vraiment à quoi l'on ressemble
après toutes ces années à vivre ensemble.Oh mon amour, je n'ai pas le courage de partir
Non mais vraiment je n'ai pas le coeur à entreprendre
de jolies choses et seul, sans ta compagnie
de jolies choses passées, se cogner à ma vieJe n'ai pas su effacer le fond de l'écran
notre histoire pauvre en couleur semble indélébile
Assailli mon coeur ne bat plus la cadence
des jours heureux passés en ta présenceOh mon amour, le temps ne suspend plus son vol
Atterré, atterri, abattu en plein vol
non mais dis moi vraiment à quoi l'on ressemble
après toutes ces années à vivre ensembleOh mon amour, je n'ai aucun regret de partir
Non mais vraiment je n'ai pas le coeur à m'étendreoh mon amour
oh mon amour, vraiment à quoi l'on ressemble
après toutes ces années à vivre ensemble
votre commentaire -
Et dans 150 ans, on s'en souviendra pas
De ta première ride, de nos mauvais choix,
De la vie qui nous baise, de tous ces marchands d'armes,
Des types qui votent les lois là bas au gouvernement,
De ce monde qui pousse, de ce monde qui crie,
Du temps qui avance, de la mélancolie,
La chaleur des baisers et cette pluie qui coule,
Et de l'amour blessé et de tout ce qu'on nous roule,
Alors souris.
Dans 150 ans, on s'en souviendra pas
De la vieillesse qui prend, de leurs signes de croix,
De l'enfant qui se meurt, des vallées du tiers monde,
Du salaud de chasseur qui descend la colombe,
De ce que t'étais belle, et des rives arrachées,
Des années sans sommeil, 100 millions de femmes et
Des portes qui se referment de t'avoir vue pleurer,
De la course solennelle qui condamne sans ciller,
Alors souris.
Et dans 150 ans, on n'y pensera même plus
A ce qu'on a aimé, à ce qu'on a perdu,
Allez vidons nos bières pour les voleurs des rues !
Finir tous dans la terre, mon dieu ! Quelle déconvenue.
Et regarde ces squelettes qui nous regardent de travers,
Et ne fais pas la tête, ne leur fais pas la guerre,
Il leur restera rien de nous, pas plus que d'eux,
J'en mettrais bien ma main à couper ou au feu,
Alors souris.
Et dans 150 ans, mon amour, toi et moi,
On sera doucement, dansant, 2 oiseaux sur la croix,
Dans ce bal des classés, encore je vois large,
P't'être qu'on sera repassés dans un très proche, un naufrage,
Mais y a rien d'autre à dire, je veux rien te faire croire,
Mon amour, mon amour, j'aurai le mal de toi,
Mais y a rien d'autre à dire, je veux rien te faire croire,
Mon amour, mon amour, j'aurai le mal de toi,
Mais que veux-tu ?...
votre commentaire -
Est-ce que j'en ai les larmes aux yeux
Que nos mains ne tiennent plus ensemble
Moi aussi je tremble un peu
Est-ce que je ne vais plus attendre
Est-ce qu'on va reprendre la route,
Est-ce que nous sommes proches de la nuit
Est-ce que ce monde a le vertige
Est-ce qu'on sera un jour puni
Est-ce que je rampe comme un enfant
Est-ce que je n'ai plus de chemise
C'est le Bon Dieu camarade
C'est le Bon Dieu qui nous brise
Est-ce que rien ne peut s'oublier
Puisqu'il faut qu'il y ait une justice
Je suis né dans cette caravane
Et nous partons allez viens
Allez viens
Tu lu tu, tu lu tu...
Et parce que ma peau est la seule que j'ai
Que bientôt mes os seront dans le vent
Je suis né dans cette caravane
Et nous partons allez viens
Allez viens
Tu lu tu, tu lu tu...
Allez viens
Tu lu tu, tu lu tu...
votre commentaire